Nouveau printemps, Cerceau 67x77cm, toile personnelle. Fais avec de la laine, feutrine et tissus. Que j’ai cousus pendant plusieurs jours.
Texte inspiré de ma toile « L’arbre du nouveau monde »
Le nouveau monde, c’est un monde de douceur, d’harmonie, de chants, de danses de la vie, dans l’accueil de la réconciliation avec soi et les autres.
Le nouveau monde, ce sont des enfants qui jouent avec joie, bonheur et des adultes qui s’autorisent à suivre le mouvement de la joie de leurs enfants intérieurs.
Le nouveau monde, c’est un monde où toutes les intelligences sont accueillies, reconnues comme importantes et essentielles à l’équilibre du monde.
Le nouveau monde, c’est un monde où tout le monde a sa place pour exprimer sa créativité propre, unique, importantes pour le monde de demain.
Le nouveau monde, c’est un monde de plus grande présence à soi, à l’autre dans le respect, discernement et consentement mutuel.
Le nouveau monde, c’est un monde où tout le monde a sa place sur terre pour œuvrer à l’éveille de l’amour, la paix, la solidarité, la compassion, l’espoir, la foi, au partage des richesses ….
Le nouveau monde, c’est un monde d’unité, de communion, d’humanité, de compassion pour son prochain, de solidarité et de partage de joie de retrouver la liberté d’être maître de sa souveraineté.
Le nouveau monde, c’est l’accueil de qui nous sommes, des âmes venues sur terre pour œuvrer ensemble à incarner sur Gaia notre souveraineté divine lumineuse d’amour inconditionnelle
Le nouveau monde, ce sont des révélations sur qui nous sommes vraiment : des êtres merveilleux, uniques, lumineux, des enfants de l’univers qui sont là pour accueillir, accepter son pouvoir de souveraineté dans la liberté d’être soi-même maitre de sa vie.
Le nouveau monde, c’est voir au-delà des apparences du visible et de l’invisible avec confiance
Le nouveau monde, c’est la nécessité d’aller en soi guérir ses vieilles blessures pour oser s’ouvrir l’authenticité d’être soi.
Le nouveau monde, c’est l’accueil, le respect de toute vie, animal, végétal, minéral et humaine.
Texte de Aurèlie BOISSEAU